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En septembre 2007, les cours du pétrole et de l’euro sont montés au plus haut. Le prix du baril de Brent a dépassé 80 dollars le 28 septembre tandis qu’un euro permettait d’acheter 1,427 dollar. Les risques géopolitiques du dossier iranien ainsi que la baisse des taux d’intérêt de la Fed pourraient accentuer cette tendance. C’est la situation inverse de 2001 où le baril de pétrole ne coutait que 24 dollars et l’euro ne valait que 0,90 dollar. L’appréciation de l’euro sur cette période a permis de limiter la hausse de la facture pétrolière française. Peut-on pour autant se réjouir d’un euro fort ? Autrement dit, les gains engrangés par la baisse du prix des importations compensent-ils les pertes en termes de compétitivité ? pour lire la suite : Les bénéfices d’un euro fort sur la facture énergétique compensent-ils les pertes de compétitivité ? par Frédéric Reynès |
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