CHAPITRE SECONDE : POPULATION ACTIVE ET EMPLOI

CHAPITRE : POPULATION ACTIVE ET EMPLOI

PARTIE I - DEFINITION ET CLASSIFICATION DE LA POPULATION ACTIVE.

SECTION I – ACTIF , INACTIF , CHOMEUR

I - DEFINITION

Document 1 : 2 p 64

Questions :

1. Le terme travail a-t-il la même signification au sens courant et au sens économique ?

2. Question 3.

Document 2 : 3 p 65 et http://ses.ac-bordeaux.fr/spip_ses/article.php3?id_article=77

Questions :

1. Comment est mesuré le nombre d’actifs en France ? Est-ce un recensement ou un sondage ?

2. Quelles distinctions sont faites au sein de la population active ?

exercice d'application: http://ecomultimedia.free.fr/animation_popact/population_active.swf (site ressources multimédias pour les SES)


II – LES LIMITES DE LA DEFINITION

Document 3 : 5 p 66
Questions :

1. Expliquez pourquoi le travail réduit involontaire , le travail clandestin , le temps réduit volontaire , la formation se retrouvent à l’intersection de deux définitions

2. En quoi ces nouvelles situations rendent - elles les définitions du chômage , de l’emploi et de l’inactivité moins pertinentes ?

SECTION II– LE DECOUPAGE DE LA POPULATION ACTIVE : LA CLASSIFICATION PAR CATEGORIES SOCIO- PROFESSIONNELLES

I – PRESENTATION DE LA CLASSIFICATION

Document 4 : 6 p 67

Questions :

1. Quels sont les objectifs de cette classification ?

2. Quelle est la base de la classification ?

3. Quels sont les différents critères utilisés ?

Document 5 : 6 p 99

Questions :

1. Question 1

Document 6 : 9 p 68

Questions :

2. Indiquez pour les 8 groupes du niveau agrégé quels sont les critères pris en compte

Exercice d'application : visionnons le diaporama : Ressources multimedia de SES,
cliquez sur seconde puis sur l'emploi et enfin sur les PCS

II – LES LIMITES DE LA CLASSIFICATION

Document 7 :

Depuis l'époque de conception du code CSP, l'hétérogénéité interne des catégories a crû, dans les catégories en expansion comme les cadres, mais aussi dans celles en récession : il y a désormais à la fois moins d'ouvriers non qualifiés et émergence d'ouvriers non qualifiés dans le tertiaire.

Des catégories autrefois homogènes se segmentent : au sein des employés, les vendeurs dans des segments pointus (appareils à technologie comme ordinateurs, ou ensembles multimédias, prêt-à-porter de luxe, etc.) deviennent des « conseillers de vente ».

Il y a aussi parfois baisse de l'hétérogénéité entre catégories. Ainsi la « fin des paysans » s'accompagne-t-elle d'un effacement de la spécificité « agraire » de l'exploitation agricole qui ressemble de plus en plus aux autres PME.

Source : N. Herpin, D. Verger, « Consommation et stratification sociale selon le profil d'emploi »,Économie et statistique,n° 324-325,1999.


PARTIE II - L’EVOLUTION DE LA POPULATION ACTIVE .

SECTION I - CONSTAT

Document 8 : 11 p 70 ( tableau à gauche )

Questions :

- Effectuez une périodisation pour chaque variable : population active masculine , féminine et totale

- Que pouvez-vous en conclure ?

Document 9 : 11 p 70 ( graphique à droite )

Questions :

- Quelle évolution future de la population active prévoit-on ?

- Sur quelles hypothèses sont effectuées ces prévisions ?

SECTION II – LES FACTEURS D’EVOLUTION DE LA POPULATION ACTIVE

INTRODUCTION :

Document 10 : 12 p 71

Questions :

- Définir taux d’activité . Quel est l’intérêt de cette notion ?

- Quels sont les deux facteurs influençant le nombre d’actifs ?

I - LES DETERMINANTS DEMOGRAPHIQUES .

A – L’ ACCROISSEMENT NATUREL

Document 11 :

Les facteurs démographiques expliquent essentiellement la croissance de la population active. En effet, depuis la fin des années 60, la population de 20 à 59 ans, socle démographique de la population active, a crû au rythme soutenu de 240 000 personnes par an. Cette dynamique s'explique, en grande partie, par l'arrivée progressive aux âges actifs des générations nombreuses du baby-boorn, nées dans les années 1946 à 1974 (près de 850 000 naissances chaque année au cours de cette période). Les générations suivantes sont moins nombreuses (750 000 naissances annuelles dans les années 1975 à 1985), mais elles restent encore supérieures à celles en âge de prendre leur retraite, nées dans les années 1935 à 1945 (600 000 naissances annuelles). Les flux migratoires ont également contribué à la forte croissance de la population en âge de travailler : depuis la fin des années 1960, le solde migratoire est toujours resté positif, d'environ 60 000 personnes par an (adultes et enfants) et même supérieur a 100 000 jusqu'en 1973.

Source : E. NAUZÎ-FICHET, « Protections de la population active en 2050 : l'essoufflement de la croissance des ressources en main-d'œuvre », Économie et Statistique, n° 355-356,2002.

Questions :

- Quel est le facteur qui est le plus important en ce qui concerne l’évolution de la population active ?

- Quels sont les deux composantes du facteur démographique ?

- Comment les naissances influencent-elles la population active ?

B - LE SOLDE MIGRATOIRE .

Document 12 :

A partir de 1945, afin de pallier l'insuffisance de main-d'œuvre à laquelle se heurtait l'économie en reconstruction, puis en pleine croissance, l'État a encouragé officiellement l'imisipation [...]. Soutenue par les entreprises, l'immigration a acquis une nouvelle vigueur de 1956 à 1973. Le niveau atteintpar l'effectif des immigrés en 1931 a été dépassé au recensement de 1962 où il approchait les trois millions.

En juillet 1974, préoccupé par le ralentissement de la croissance économique et soucieux de limiter le nombre des étrangers, le gouvernement décida l'arrêt officiel de l'immigration hors droit d'asile, sauf dans le cadre du regroupement familial et de demandes spécifiques émanant d'employeurs. En fait, l'entrée de travailleurs, bien que freinée, ne s'est jamais tarie et l'aide au retour a donné des résultats limités. Depuis 1975, c'est désormais l'immigration de regroupement familial qui prédomine [...]. Globalement, les courants migratoires se sont développés suivant un schéma classique : à une immigration de main-d'œuvre composée en majorité d'hommes adultes, venus seuls, s'est ajoutée, avec un décalage de plusieurs années, une immigration de regroupement famiial, composée pour l'essentiel de femmes et d'enfants.

Source : F. Daguet, S. Thave, « La population immigrée,le résultat d'une longue histoire »,Insee première, n° 458, Juin 1996.

Questions :

- Quelle est la différence entre une immigration de main d’œuvre et une immigration de regroupement familial ?

- A quelle période l’immigration a-t-elle contribué le plus à l’augmentation de la population active ?

- Quelles sont les raisons de l’immigration ?

II - LES DETERMINANTS SOCIO-ECONOMIQUES : L’EVOLUTION DES TAUX D’ACTIVITE SELON LE SEXE ET L’AGE

A – LES TAUX D’ACTIVITE SELON L’AGE

Document 13 :14p 72
Questions :

- Opérez une analyse méthodique du document :

· étudiez l’ensemble

· opérez une comparaison par sexe

· puis par âge

· reliez les deux variables

Document 14 : 15 p 72

Questions :

- Questions 1 à 3

- Quelles sont les explications du faible taux d’activité des jeunes ?

B – LES TAUX D’ACTIVITE SELON LE SEXE

INTRODUCTION :

Document 15 : 19 p 75

Questions :

- Questions 1 à 4

1 – UN RAPPROCHEMENT DES TAUX D’ACTIVITE MASCULIN ET FEMININ

Document 16: 9 p 75

Questions :

- Questions 1 à 3

Document 17: 22 p 76

Questions :

- Questions 1 à 4

2 – MAIS LES INEGALITES PERSISTENT

Document 18 : 24 p 77

Questions :

- Questions 1, 3 et 4

Document 19 :25 p 78
Questions :

- Questions 1 et 2

- Quelle relation faites-vous entre catégorie socioprofessionnelle et écart de rémunérations entre hommes et femmes ?

PARTIE III – LES TRANSFORMATIONS DE L’EMPLOI


SECTION I- DES EMPLOIS DE NATURE DIFFERENTE

I – CONSTAT

A – LA TRANSFOMATION DE LA STRUCTURE PAR PCS

Document 20 : 2 p 88 et :
Questions :

- Questions 1 , 2 , 3 et 5 p 89

- Quelles sont les caractéristiques des emplois qui ont connu une augmentation de leurs effectifs , celles qui ont connu une diminution de leurs effectifs ?

B – DES EMPLOIS SALARIES

1 – SALARIE- INDEPENDANT : 2 STATUTS JURIDIQUES

Document 21 :

Le salariat est la situation définie par contrat dans laquelle un individu reçoit de son employeur une rémunération forfaitaire, le salaire, en contrepartie d'un travail. (...)

Le salarié, travailleur dépendant, se différencie de l'artisan , travailleur indépendant. Celui-ci achète ses moyens de production (équipements, matières premières) et organise le travail. Sa rémunération provient de la vente de son ouvrage . Le salarié ne possède pas les moyens de production et ne participe pas a la définition de l'organisation du travail. Il ne vend pas le produit de son travail mais un temps de travail . Sa rémunération ne dépend pas, pour l'essentiel, de la prospérité de l'entreprise. Tant que l'entreprise ne fait pas faillite,il n’assume pas les risques de l'entreprise.

Source : Dictionnaire d'économie et de sciences sociales, Nathan, 2003

Questions :

- Mettez en évidence les différences entre le statut d’un salarié et celui d’un indépendant

2 - UNE AUGMENTATION DU NOMBRE DE SALARIES

Document 22 :1 p 88 et :

Questions :

- Question 2

- Opérez une périodisation du nombre de salariés et du taux de salarisation depuis 1950 . Que constatez-vous ?

II - EXPLICATIONS

Document 23 : 6 p 91

Questions :

- Comment peut-on expliquer l’augmentation du nombre de salariés

- Pourquoi le nombre d’employés a –t-il connu une croissance forte ?

- Quelles sons les raisons de la diminution du nombre d’ouvriers ?

SECTION II – MAIS DE PLUS EN PLUS PRECAIRES

I-L’EMPLOI NORMAL DES 30 GLORIEUSES

Document 24 :

La législation, les conquêtes syndicales, les modes de gestion de la main d’œuvre ont abouti à imposer une sorte d'emploi-type (...]. Ces normes [...] se sont imposées à tous :

- emploi salarié, les formes de travail indépendant (agriculteurs, commerçants ) tendant à devenir marginales ;

- le lien entre l'employé et le salarié est ferme : il s'agit d'un statut, d'un contrat sans limitation de durée, s'intégrant le plus souvent dans des conventions collectives

- l'emploi typique est stable ; il s'intègre le plus souvent dans un système de promotion

- c'est un emploi à temps plein ; c'est le vecteur principal d'identification sociale de l'individu ;

- l'emploi typique relève d'un seul employeur, et s'exerce sur un lieu de travail spécifique

Source :D. Gambier et M. Vernière, L'Emploi en France, La Découverte , 1998

Questions :

- Présentez les cararctéristiques de l’emploi normal

- Expliquez la phrase en gras

II - EST DE PLUS EN PLUS REMIS EN CAUSE AUJOURD’HUI

Document 25 :

Sur la toile de fond constituée par la généralisation du salariat, des « formes particulières d'emploi » se sont développées, notamment depuis la fin des années 1970. Cette floraison de formes d'emploi atypiques ne peut se comprendre qu'en liaison avec la salarisation : les formes particulières d'emploi, dans leur acception contemporaine, se situent pour l'essentiel à l'intérieur du salariat. Elles englobent

tous les types d'emploi qui, d'une manière ou d'une autre, dérogent* à la norme du travail sur contrat à durée indéterminée à temps plein.

Deux sortes de formes particulières d'emploi peuvent être distinguées (même si elles se recouvrent parfois) :

- celles qui dérogent à la norme du point de vue de la durée et de la stabilité du contrat de travail : ce sont les contrats à durée déterminée (CDD), l'intérim, les divers stages, etc. ;

- celles qui se distinguent du point de vue de la norme du temps de travail : il s'agit là du travail à temps partiel.

Source :Margaret Maruani et Emmanuelle Reynaud,Sociologie de l'emploi, © La Découverte, 1999.

* Ne respectent pas.

Questions :

- En quoi les FPE sont-elles des emplois « hors normes » ?

- Quelles sont les deux types de formes particulières d’emploi mises en évidence dans le texte ?

Document 26 :

C'est la structure même de la relation salariale qui risque d'être remise en question. La consolidation de la relation salariale, on l'a souligné, a tenu au fait que salarier une personne avait de plus en plus consisté à s'attacher sa disponibilité et ses compétences sur la longue durée — cela contre une conception plus fruste du salariat, qui consistait à louer un individu pour accomplir une tâche ponctuelle. [...]. Les nouvelles formes « particulières » d'emploi ressemblent davantage à d'anciennes formes d'embauche, lorsque le statut du travailleur s'effaçait devant les contraintes du travail, .La flexibilité est une manière de nommer cette nécessité de l'ajustement du travailleur moderne à sa tâche.

[...]. Elle exige que l'opérateur soit immédiatement disponible pour s'adapter aux fluctuations de la demande. Gestion en flux tendu, production à la commande, réponse immédiate aux aléas des marchés sont devenus les impératifs catégoriques du fonctionnement des entreprises compétitives.

Source :R.Castel, Les Métamorphoses de la question sociale,© Gallimard, 2002.

Questions :

. Qu'est-ce que la flexibilité ? Quels sont ses avantages pour les entreprises ?

-. En quoi le développement des FPE reflète-t-il la recherche de flexibilité des entreprises ?

-. Les « nouvelles formes d'emploi » sont-elles vraiment nouvelles ?

Document 27 : Les emplois à durée limitée ( en milliers )

Années

1985

2003

Intérimaires

113

428

Contrats à durée déterminée

315

1577

Contrats aidés'

146

410

Apprentis

178

273

Total

752

2688

Ensemble des salariés

19282

21 527

Source : TEF ,INSEE

Questions :

- Pourquoi les formes d’emploi mises en évidence dans le document peuvent être qualifiées de formes particulières d’emploi ?

- Quelles conclusions pouvez-vous tirer de ce document ?

- Quels calculs statistiques pourriez-vous effectuer pour affiner vos conclusions ? Effectuez-les et développez votre analyse précédente

Document 28:

Derrière le terme générique de « travail à temps partiel », [on peut distinguer] deux logiques sociales fondamentalement divergentes :

• La première, devenue minoritaire, est celle du «travail à temps réduit», c'est-à-dire d'une transformation du contrat de travail du temps plein vers le temps partiel à l'initiative du salarié. Il s'agit là d'un aménagement du temps de travail volontaire et réversible (exemple: le «mercredi libre »).

• La seconde est celle de « l'emploi partiel », c'est-à-dire des créations d'emplois partiels à l'initiative de l'employeur, en dehors ou contre la volonté des salariés. L'emploi partiel est une forme d'emploi et son développement obéit à une logique du marché beaucoup plus qu'à une demande des salarié(e)s (exemple : l'embauche de caissières à temps partiel).

Depuis le début des années 1980, ce sont ces créations d'emploi qui sont devenues largement majoritaires, contribuant ainsi au développement de ce que les statisticiens appellent le sous-emploi. Les recrutements à temps partiel sont désormais monnaie courante dans certains secteurs des services (le commerce, la restauration-hôtellerie et le nettoyage industriel notamment). Les salarié(e) s à temps partiel y travaillent généralement avec des horaires qui n'ont strictement rien à voir avec une quelconque volonté de concilier vie familiale et activité professionnelle : travail en « nocturnes »,aux heures de déjeuner, le samedi. La « souplesse » existe bien, mais elle est pour l'employeur.

Source :Margaret Maruani et Emmanuelle Reynaud, Sociologie de l'emploi, © La Découverte, 1999.

Questions :

1. Quelles sont les deux formes de temps partiel ? Opposez les logiques des deux types de temps partiel

Document 29 : Le développement du temps partiel

Proportion des actifs occupés à temps partiel

( en %)

Taux de sous-emploi *

( en % )


1973

1983

1993

2003

2003

Ensemble

5,9

9,7

13,7

16,5

26,6

Hommes

1,7

2,6

4,1

5,4

29,5

Femmes

12,9

20,0

26,3

29,9

26

*: part des actifs occupés à temps partiel souhaitant travailler davantage

source : Enquête Emploi , INSEE

Questions :

- Donnez le mode de lecture et de calcul du chiffre entouré

- Comment a évolué le pourcentage d’actifs occupés à temps partiel de 1973 à 2003 ?

- Le temps partiel est-il toujours choisi ?

PARTIE IV – LE CHOMAGE

INTRODUCTION : LE CHOMAGE A UNE HISTOIRE

Documentaire en 2 parties (2 x 52 min) du r�alisateur sardon Gilles Balbastre (2001).



Voir le film en ligne :

Première partie : 1967 - 1981 (52 min., Vid�o haut-d�bit)
Seconde partie : 1981 - 2001 (52 min., Vid�o haut-d�bit)

SECTION I - LA DEFINITION DU CHOMAGE

I – LA MESURE DU CHOMAGE

Document 30 : 1 p 106

Questions :

- Présenter le rôle et les les objectifs de l’INSEE et de l’ANPE

- Questions 1 et 2


Animation Flash : Calculez vous-même le taux de chômage en France


II – L’INDEMNISATION DU CHOMAGE

Document 31:1 p 114

Questions:

- Quels sont les deux systèmes d’indemnisation du chômage en France ? En quoi leurs logiques sont-elles opposées sont donc opposées et donc complémentaires ?

- De quoi dépend la durée d’indemnisation du chômage dans le régime paritaire d’assurance chômage ?

- De quoi dépend la durée d’indemnisation du chômage dans le régime de solidarité ?

- Question 2


SECTION II - LES CARACTERISTIQUES DES CHOMEURS


I - L’EVOLUTION DU CHOMAGE


Document 32 : 3 p 107

Questions :

- Pourquoi la courbe des chômeurs au sens du BIT et celle des DEFM Ne sont-elles pas superposées ?

Opérez une périodisation de l’évolution du nombre de chômeurs

II - LES FACTEURS DETERMINANT LE CHOMAGE

DOCUMENT 33 : 5 p 108

Questions :

- Donnez le mode de calcul du taux de chômage . Quel est l’intérêt de cet indicateur par rapport au nombre de chômeurs ?

- Quelle relation pouvez-vous faire antre :

· âge et taux de chômage

· âge et sexe

- Montrez que ces deux variables se cumulent pour déterminer le taux de chômage d’une catégorie



Document 34 :6p 108
Questions :

- Question 1

Quelle relation faites-vous entre taux de chômage et diplôme ?

Document 35 :7p108
Questions :

- Questions 1 et 2

- Comment ont évolué les inégalités de taux de chômage selon le diplôme ?

Document 36 : 8 p 109 et :
Questions :

- Questions 1 à 4

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