Avant de partir, Blair donne sa vision du travail
Our Nation’s Future - the role of work
Tony Blair, PM Office, 30 mars 2007.
Dans ce septième discours de la série « Our Nation’s Future », Tony Blair décrit sa vision du travail pour le XXIe siècle. Pour lui, l’État doit d’abord et avant tout appuyer ceux qui se sentent impuissants devant les défis de la mondialisation, notamment en donnant aux individus les compétences et la formation leur permettant d’être compétitifs. Tony Blair réaffirme également l’importance de renforcer les droits des travailleurs, en donnant l’exemple du salaire minimum instauré au Royaume-Uni en 1999 et de la prolongation du congé de maternité de six à neuf mois au printemps 2007. L’entrevue peut être lue ou visionnée en ligne.
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Le bon bilan de Tony Blair
Gilles Duranton, Telos-EU.
Dix ans après son arrivée au 10, Downing Street, l’heure du départ sonne pour Tony Blair : il est temps de s’interroger sur le bilan du New Labour. En France, le débat tourne le plus souvent autour du bien-fondé d’un prétendu « modèle anglo-saxon » et de son éventuelle adoption. Cette façon de poser le problème n’est pas la bonne. Au lieu de se lancer dans ce type de discussion stérile, il faut se demander quels sont les principes du gouvernement de Tony Blair qui ont fait son succès populaire (deux réélections) et ont contribué à la réussite des politiques de son gouvernement.Consulter en ligne
Les salariés à l’épreuve de la flexibilité
Les emplois à "bas salaire" et les salariés à l’épreuve de la flexibilité
C. Guégnard et S-A. Mériot, Céreq, Marseille, Bref, n° 237, 4 pages.
Population à prédominance féminine, peu diplômée, souvent d’origine étrangère, les femmes de chambre accèdent généralement à leur emploi sur la durée, parfois heure par heure, et doivent se confronter à des conditions de travail difficiles. Avec le temps, certaines se trouvent enfermées dans une spirale qui lie faible rémunération et emploi précaire, et les fait entrer dans la catégorie des « travailleurs à bas salaire ». L’analyse de leurs trajectoires met en lumière les enjeux d’une question aujourd’hui au coeur des préoccupations de la Communauté européenne : la sécurisation des parcours professionnels des personnes les plus vulnérables. La similarité du destin des femmes de chambre en France, au Danemark et au Royaume-Uni, dans des contextes socio-économiques et institutionnels différents, tend à montrer qu’en la matière, l’échange de « bonnes pratiques » d’employeurs ne doit pas être négligé au profit de l’adoption d’un « modèle national ».Télécharger le document PDF 107.3 ko
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