Se nourrir d’abord,se faire du bien ensuite

Sur le site du CREDOC :

Se nourrir d’abord, se faire du bien ensuite...


Depuis les années quatre-vingt-dix, la croissance du marché de l’alimentation se poursuit mais sur un rythme ralenti : en France, la progression annuelle de la dépense alimentaire (y compris les dépenses de restauration) a été de 1,4% entre 1996 et 2006. Elle était de 2 % pendant la décennie 80 et de 2,5% dans les années soixante-dix. Les industriels ont réagi en déclinant davantage les gammes, en recherchant des niches et des réponses à des attentes immatérielles.
Parallèlement, des phénomènes comme les crises alimentaires ou la forte croissance des cas d’obésité ont sensibilisé les consommateurs au lien entre alimentation et santé. Les campagnes d’information sur ce thème marquent les esprits. De même, la plus forte visibilité de la pauvreté et la fréquentation d’associations offrant des repas gratuits a mis en évidence le fait que se nourrir reste un problème financier pour une partie de la population.
En 2006, le ministère de l’Agriculture et de la Pêche a confié au CRÉDOC la réalisation d’un baromètre des perceptions alimentaires afin de cerner les attentes des consommateurs, qui reposent en partie sur des croyances et des représentations collectives.
Les résultats de la deuxième vague (juillet 2007) révèlent que pour un Français sur cinq, se nourrir est d’abord une nécessité. La recherche du plaisir arrive en deuxième position mais, désormais, elle est presque rattrapée par une préoccupation : l’incidence de l’alimentation sur la santé.

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